Nous commençons tous notre vie dans une condition de mort par rapport à Dieu.

«Dites ce qui arrivera plus tard, pour que nous sachions si vous êtes des dieux» (Ésaïe 41:23).

Le Seigneur déclare avec clarté que la porte vers le ciel est effectivement «étroite» et que le chemin qui mène à la vie est «resserré».

Comme il est facile de se décourager dans l’œuvre de Dieu !

Seule la foi qui nous lie à la personne d'un Sauveur vivant est une foi à salut.

L’Écriture n’enseigne nulle L’Écriture n’enseigne nulle part que le bénéfice de cette mort s’étend au-delà des limites de l’amour de Dieu.

L'homme est un compagnon des poubelles et des sandwichs à moitié mangés avant qu'il soit amené à Christ par le Saint-Esprit.

Dieu n'est sous aucune obligation de montrer de la miséricorde envers le moindre pécheur.

Beaucoup pensent que ce sont les Juifs, mais est-ce la vérité ?

«Comment l’homme serait-il juste devant Dieu ?» Telle est la question cruciale (Job 9 2).

«Pardonner» est en fait un terme qui appartient au domaine de la comptabilité. On efface une dette.

«Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre» (Matthieu 27:45).

Et voici que, soudain, nous avons l'occasion de voir que le contrôle que nous pensons posséder sur notre vie n'est en fait qu’une illusion.

En premier lieu, on peut se réjouir du fait que l’Évangile fait désormais réagir le monde autour de nous.

Les moments les plus importants dans l’histoire de ce monde se sont produits sans que personne n’y prenne garde.

Sur la croix, il s’est écrié : «Tout est accompli» (Matthieu 19:30). Il a accompli le but de sauver son peuple de ses péchés.

Il est tout près de vous, au sein des ténèbres les plus épaisses (cf. Psaume 139:12).

Vous vous sentez indigne de vous tenir parmi le peuple de Dieu, et vous avez bien raison.